Publié le 26/10/2024 - 17h31

• Le réseau routier départemental et communal

• Le réseau ferroviaire

• Les réseaux de transport guidé (tramways, métros)

On évoque ici visiblement le transport de personnes plus spécifiquement. Il me semble évident de prioriser tous les modes massifiés et décarbonés, tout en sanctionnant et limitant les autres. Par exemples les aéroports privés devraient être surtaxés ou supprimés au vu de l'empreinte individuelle qu'ils génèrent. Dans le même temps la réflexion sur la nécessité des autoroutes par rapport aux axes ferroviaires devrait systématiquement être balancée, bien sûr avec des objectifs de performance, de fiabilité et de maîtrise de la tarification (indécente sur les périodes de congés, sans compter les grèves). Pour les ports et voies navigables, elles devraient également faire l'objet d'une restructuration complète en lien avec une meilleure maîtrise (réduction) des intrants à l'échelle nationale. Etant donné que le fret maritime représente 80% du trafic mondial il y a certainement des choix à faire pour redynamiser au passage l'économie locale, limiter la démultiplication d'un même produits sur les étals de supermarchés, etc. Les navires de croisière sont également à questionner : qu'apportent-ils au tourisme versus les dégâts causés aux points de visite et la biodiversité (ex.: Venise) et contraindre leur exercice à une mobilité garantie neutre en carbone mais aussi dommages maritimes...